Travail à domicile

dimanche 7 novembre 2010

La fleur de Rafflesia arnoldii



La fleur de Rafflesia arnoldii peut atteindre un mètre de diamètre et peser jusqu'à 10 kg. C'est une fleur simple.
Arum titan possède la plus grande inflorescence du monde pouvant atteindre près de 3 mètres[réf. nécessaire].

dimanche 17 octobre 2010

Desert du Namibie



L’espèce végétale la plus remarquable est la Welwitschia mirabilis qui est endémique au désert du Namib et au Kaokoland voisin. Cette plante rare ne possède que deux très longues feuilles et peut vivre jusqu’à 2 500 ans. D’autres espèces typiques sont le nara (Acanthosicyos horridus) , un melon rond épineux, le dollar-bush (Zygophyllum stapfii), un arbuste qui doit son nom à ses feuilles rondes de la taille d’une pièce d’un dollar et l’arbre-carquois ou kokerboom (Aloe dichotoma). De nombreux lichens colorés prolifèrent également dans les plaines côtières au nord de Swakopmund.

D’une manière générale, la végétation est extrêmement rare dans le milieu dunaire du Namib méridional. La végétation est plus étendue dans les zones moins arides au nord et à l’est, avec différentes variétés de buissons nains et même d’arbres (acacias).
Une grande dune à Sossusvlei.

De nombreux reptiles (lézards, geckos) et petits rongeurs (gerbilles, taupes…), dont certains endémiques, y vivent. Les grands mammifères sont rares, les seules espèces adaptées à cet environnement très rude étant l’Oryx gazelle ou gemsbok et dans une moindre mesure le springbok (Antidorcas marsupialis). Il existe une petite communauté d'environ 50 familles de chevaux sauvages qui vivent dans un secteur de 40 000 hectares du désert et qui survivent depuis une centaine d'années grâce à un puits d’eau installé pour ravitailler les trains durant l’époque de la colonie[3]. Parmi les prédateurs, on trouve les hyènes tachetées (Crocuta crocuta) et hyènes brunes (Hyaena brunnea), des lions ainsi que des renards. La faune aviaire est assez limitée et se concentre dans la bande côtière.

Le courant froid de Benguela riche en plancton entraîne la présenc

vendredi 24 septembre 2010

Les mélèzes


Plus de la moitié de la flore d'Europe est répertoriée ici, dans les Hautes-Alpes. Avec plus de 2000 espèces, dont certaines rares et protégées, c'est une véritable réserve botanique à découvrir en cheminant, dans les vallées, dans le Parc national des Ecrins et le Parc naturel régional du Queyras.

dimanche 12 septembre 2010

La baie de la Fresnaye




Cette baie tient son nom des frênes qui la bordent autrefois. Les mytiliculteurs y trouvent des troncs d'arbres et des racines fossilisés. Cet endroit est envahi par la mer, selon les historiens en 709, et selon les scientifiques, petit à petit au fil des siècles. La baie voit l'arrivée des Normands aux IXe et Xe siècles. Au XIIe siècle, de nombreux pèlerins venus d'Angleterre ou de pays nordiques y débarquent, accueillis par les Templiers qui les escortent vers les lieux saints. Un trafic important de marchandises se développe dans la baie, ainsi qu'une importante contrebande. Des postes de douane sont donc créés. Avec la chouannerie, de nombreuses liaisons avec les iles Anglo-Normandes sont effectuées sous la Révolution. En 1920 et 1945, la baie est menacée par la création d'un barrage hydroélectrique, du même type que celui de la Rance, ce qui entraine une forte réaction des populations, surtout à Saint-Cast. En 1941, vingt jeunes gens tentent de s'échapper de la baie vers l'Angleterre, à bord d'un bateau, Le Buhara. Ils sont interceptés par les Allemands. Deux d'entre eux sont fusillés, les autres expédiés en Allemagne. En 1943, un réseau de récupération d'agents alliés et d'aviateurs est mis en place, c'est le réseau Var. Enfin, c'est à l'ouverture de la baie que la frégate météorologique Laplace saute sur une mine, en 1950, entrainant dans la mort cinquante et un marins et spécialistes météo.

jeudi 9 septembre 2010

Saint-Malo


Saint-Malo :
Saint-Malo est sans conteste l’une des villes les plus attachantes de Bretagne : elle constitue le joyau de la Côté d’Emeraude, au cœur d’une région au développement touristique fulgurant. Ses pierres ont inspiré les plus grands coureurs d’aventure et nombre d’écrivains célèbres.

Saint Jacut de la Mer


L'archipel des Ebihens prolongeant la presqu'île de Saint-Jacut, dont le rocher principal est d'une superficie de 20 hectares, est une des quelques îles privées de Bretagne, occupée en été par de rares résidents secondaires.

Il paraît probable que son isolement date du raz-de-marée qui détruisit la forêt de Scissy en 709 et que les plages qui l'entourent étaient également recouvertes d'arbres et d'herbus ... Le sous-sol des plages recèle peut-être des trésors insoupçonnés, définitivement enterrés dans les oubliettes de l'hisoire ... et des marées.

Le chapelet formant l'actuel archipel fut occupé dès avant notre ère et des fouilles entreprises sur son sol ont mis à jour des vestiges attestant d'une occupation gallo-romaine. Un petit village coriosolite y fut érigé.
vers les Ebihens

En vous dirigeant vers l'archipel, vous aborderez un premier massif rocheux, La Loge, traversé par une faille où le sable va et vient au gré des marées. Elle mène à un plateau dunaire couvert à marée haute et menant à l'île principale.

C'est à cet endroit que des fouilles archéologiques permirent de découvrir les traces d'un atelier dont l'activité était très particulière : la fabrication de pains de sel. Une technique lucrative avait permis à nos ancêtres, les Celtes, de transformer une matière abondante, l'eau de mer, en un produit obtenu par évaporation forcée.

Les hommes qui vécurent là étaient de véritables "bouilleurs d'eau de mer" !

Utilisant des fours circulaires pour l'évaporation forcée, l'artisan saunier versait dans des récipients une saumure concentrée qu'il faisait bouillir au dessus de la braise de façon à récupérer les cristaux de sel et en faire des pains. L'atelier des Ebihens produisait des pains pesant jusqu'à 3 kg.

Dinan


Partie orientale des Côtes d’Armor, l’arrondissement s’ouvre au nord sur la Manche (Côte d’Emeraude),et s’étend au sud jusqu’au Morbihan – coupé par deux axes routiers d’importance (Caen-Brest et Rennes-Brest).
Région d’économie rurale (prédominance de l’élevage), appuyée par une industrie agro-alimentaire bien implantée (abattoirs industriels, coopératives agricoles, laiteries, cidreries, eaux minérales).La faiblesse du tissu industriel – hormis le secteur artisanal – engendre un taux de chômage supérieur à la moyenne départementale (90 % des établissements ont moins de 10 salariés).
L’activité touristique (DINAN) et la plaisance sont favorisées par la présence de sites remarquables (Cap Fréhel, Vallée et Estuaire de la Rance) et l’existence des stations des Sables d’Or les Pins, Saint Cast le Guildo, Saint Jacut de la Mer et Lancieux.
Dans ce contexte, l’application de la loi littoral et la mise en œuvre des mesures agro-environnementales revêtent une importance particulière.