Travail à domicile

lundi 31 janvier 2011

Le Fort du Randouillet


Il domine le Fort des Têtes et avait pour mission de le protéger d'une éventuelle attaque descendant des sommets de la montagne de l'Infernet. Sa position lui permet également de surveiller la vallée de Cervières.
Le Fort a ceci de particulier qu'il est composé de deux parties bien distinctes : "le donjon" partie supérieure de l'ouvrage dans lequel se concentre les principaux éléments de défense et en bas la "ville militaire" qui abrite les bâtiments de casernement, poudrières, etc...
Son nom lui vient des hirondelles qui y nichaient et qui sont appelées les randouilles dans les Alpes du Sud.
Visitez la galerie photos du Fort du Randouillet.

Le Fort Dauphin


Ce poste avancé construit en lisière de forêt assurait la surveillance du Vallon du Fontenil et la protection du Fort des Têtes, il permettait avec son vis-à-vis le Fort des Salettes de verrouiller parfaitement la route de l'Italie.
C'est un ouvrage à plusieurs niveaux avec deux fronts bastionnés, sa particularité vient d'un imposant mur (2,20 de large X 9,30M de haut) qui traverse le fort dans le sens de la longueur et sur lequel est adossé le seul bâtiment de casernement.
Dans un état de délabrement avancé, ce fort appartient toujours à l'armée qui l'utilisait il y a encore peu de temps comme lieu d'entraînement aux combats de rue....
Visitez la galerie photos du Fort Dauphin.

dimanche 30 janvier 2011

Fort des Têtes


C'est l'ouvrage le plus important du dispositif fortifié Briançonnais.
Dès 1700 Vauban avait souligné l'importance stratégique de cette position qui surplombe les vallons du Fontenil et de Fontchristiane ainsi que la ville fortifiée.
Sa construction débuta en 1721 sous la direction de deux ingénieurs : Tardif et Nègre, il fallut d'abord aplanir le plateau des Têtes en détruisant les bosses rocheuses qui s'y élevaient et dont il ne reste qu'un témoignage sur la place centrale.
Le Fort se compose de trois fronts et d'un bas fort, il présente toute la panoplie des défenses de l'époque : demi-lunes, feux de revers, chemin couvert, etc...
Sa superficie, une fois et demie supérieure à celle de la vieille ville, permettait le casernement de 1250 hommes et d'environ 70 pièces d'artillerie, en cas de prise de la ville il aurait servi de base de repli.
Le Fort des Têtes se trouve au coeur du système défensif, il est relié à la ville par le pont d'Asfeld et au fort du Randouillet par la communication Y. Il ne fut jamais achevé et de nombreux bâtiments manquent à l'appel, d'autres en revanche furent réaffectés à d'autres tâches, la chapelle fut ainsi transformée en caserne au 19ème siècle.
Des visites organisées pendant l'été vous permettront d'apprécier au mieux cet ouvrage.
Visitez la galerie photos du Fort des Têtes.

Fort des Salettes


Imaginé par Vauban dès sa première visite en 1692, il se situe au dessus de la ville haute sur les premiers lacets qui mènent à la Croix de Toulouse.
Edifié entre 1709 et 1712, ce petit ouvrage d'infanterie appelé "Redoute" était à l'origine constituée d'une tour carrée entourée d'un fossé et d'une galerie à feux de revers.
Son objectif était double, surveiller la route de l'Italie et priver l'ennemi d'une position stratégique pouvant menacer la ville.
En 1840 il fut transformé en fort d'artillerie avec la construction d'un fossé extérieur, de casemates et de bastions.
Grâce au travail de rénovation du "Club du Vieux Manoir" le fort est dans un excellent état de conservation, c'est malheureusement le seul dans ce cas...
Visitez la galerie photos du Fort des Salettes.

Le Pont d'Asfeld


l permet la liaison entre la ville et le Fort des Têtes.
En 1700 Vauban avait déjà pensé à un pont permettant de franchir les gorges de la Durance, dans son esprit cet ouvrage de communication devait être composé de deux arches.
Lorsque le projet fut entrepris trente ans plus tard (1730-1731), les ingénieurs en charge de sa construction décidèrent d'une arche unique de 55 mètres sous clef pour relier les 40 mètres séparant les deux rives.
Le rude hiver qui sévissait à cette époque obligea à une certaine diligence dans sa réalisation, toute la maçonnerie fut ainsi terminée en moins de quatre mois (Avril-Août 1730), malgré cette rapidité d'exécution aucun accident ne fut à déplorer durant toute la construction de cette oeuvre audacieuse.
A noter que ce monument n'a pas très bonne réputation, certains le surnomment ainsi "Pont du Diable" car il est le théâtre de nombreux suicides.
Visitez la galerie photos du Pont d'Asfeld.

mardi 25 janvier 2011

Piana


Sur l’île de Beauté, à l’entrée des magnifiques « calanche » de granit rose classées au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, Piana surplombe, dans un décor de rêve, le golfe de Porto. Dominées par l’église Sainte-Marie de style italien, les maisons blanches disposées en amphithéâtres se découvrent au fil de la balade, de ruelles étroites en places ombragées aux agréables senteurs d’eucalyptus..

Moustiers Ste Marie


Tout près du Lac de Sainte-Croix et des Gorges du Verdon, Moustiers a posé ses maisons et ses ruelles animées dans l’échancrure d’un rocher. Connu et reconnu pour sa production de faïence, le village compte encore aujourd’hui une dizaine d’ateliers dédiés à sa création.

lundi 24 janvier 2011

La Grave La Meije


Le village de la Grave possède le label les « plus beaux villages de France ».

Les glaciers de la Meije et la grotte de glace sont accessibles par un téléphérique qui vous amènera à près de 3200 m d'altitude.

L'accès au village, en provenance de Grenoble ou de Briançon, se fait par la route N 91. La Grave se trouve à 10 km du col du Lautaret du côté de Bourg d'Oisans.
Les principaux parkings sont situés en aval du village du côté du fond de vallée.