Travail à domicile

vendredi 19 août 2011

Le Trou de la bombe Bavella


Au sud du parking, prendre le large chemin qui part sud-est, puis s'oriente rapidement sud. Il est presque horizontal et surplombe la route départementale. Il oblique vers l'est quelques minute puis s'orient à nouveau vers le sud.

Vers 1280m, dans une clairière, prendre le sentier de gauche (est) qui mène à la vaste cuvette boisée où se trouve le col de Velaco (1300m environ).
Se diriger en suivant toujours le même balisage orange vers les barres rocheuses pour trouver, après une petite grimpette, le trou de la Bombe, percé dans l'arête faîtière du chaînon des Paliri. Il mesure environ 7 mètres de haut.



Revenir au col de Velaco et prendre un sentier en direction du nord qui monte petit à petit sur une croupe (balisage orange toujours). De là on a une belle vue sur le chaînon et le trou. Continuer vers le nord dans la belle forêt de pins. Passer dans une grande clairière et descendre sur le col de Bavella.

Bavella


Bavella est un haut lieu de la montagne corse. Et pour cause : à la fois massif, col et forêt, il résume à lui seul les particularités du relief de l´île, à savoir des formes pérpétuellement délirantes et des couleurs qui vont du rouge le plus clair au gris le plus sombre, le tout saupoudré d´immenses forêts de pins laricio.

Les plus beaux panoramas, notamment sur les aiguilles de Bavella, sont à voir au col du même nom (1218m. d´altitude), en plein parc régional. C´est aussi le point de départ de nombreuses randonnées pour tous niveaux, notamment la curiosité généologique du "trou de la Bombe". Accessible en 1h à l´ombre des pins, elle permet d´approcher sans trop de dangers l´univers de la haute montagne.

Depuis la côte orientale, deux routes permettent d´y accéder : la D368 depuis Porto-Vecchio et Zonza, et plus au nord, la D268 depuis Solenzara. C´est cette dernière, très sinueuse et souvent étroite, qu´il faut emprunter pour se rendre compte de la variété des paysages, depuis la rivière Solenzara et ses piscines naturelles jusqu´aux immenses parois rocheuses à l´approche du col. On préférera la D368 pour redescendre sur Porto-Vecchio, via le très beau massif de l´Ospédale. Le village du même nom offre notamment une très belle vue sur le golfe de Porto-Vecchio.


vendredi 12 août 2011

Le Valgaudemar



La plus himalayenne des vallées alpines, le Valgaudemar, débouche sur un cirque d’exception, au cœur des grands massifs de l’Oisans. Assis à la terrasse du chalet hôtel du Gioberney, vous serez rafraîchi par la très romantique cascade du voile de la mariée.
Mais n'en restez pas là, suivez les sentiers de randonnée tout autour, prenez de l'altitude et découvrez un paysage vraiment fantastique.

dimanche 26 juin 2011

Connaissez vous le bookcrossing?

Le bookcrossing tel qu'il se pratique aujourd'hui est né en avril 2001, sur une idée de l'Américain Ron Hornbaker. La pratique du bookcrossing consiste à abandonner un livre dans un lieu public afin d'en faire profiter d'autres lecteurs... Pour trouver ces ouvrages, il suffit de suivre les indices déposés sur le site internet bookcrosssing.com. Les 3 règles du bookcrossing sont simples : lire, enregistrer et relâcher ! La première étape consiste bien évidemment à lire un livre. Ensuite, vous avez la possibilité de l'enregistrer sur le site. Vous pouvez ainsi poster une critique, des notations, des recommandations... bref tous vos commentaires puis vous obtenez un code BCID unique (BookCrossing ID). Il suffit de coller une étiquette avec ce numéro sur votre livre puis, de le "relâcher" dans la nature afin que quelqu'un d'autre le lise : donnez-le par exemple à un ami, laissez-le sur un banc public, dans un parc, oubliez-le dans un café ou dans le métro. Vous serez alors prévenus par e-mail chaque fois que quelqu'un enregistre un commentaire sur ce livre. Et si vous faites une Release Note (note de libération), vous indiquez l'endroit, un quartier ou un lieu précis, pour que d'autres partent à sa recherche et tenter de le trouver. Et ainsi de suite s'il le relâche à son tour. La plate-forme bookcrosssing.com facilite ainsi les échanges et permet les discussions. Le site compte plus de 920 000 membres inscrits dans 132 pays, dont 14 000 en France. Internet a donc donné une dimension internationale à un loisir qui pouvait s'exercer en solitaire. Le site lance parfois des défis communs aux différents pays, en proposant par exemple, un thème pendant un mois.

dimanche 12 juin 2011

Orcieres


Orcières est une commune des Hautes-Alpes située à un peu plus d'une vingtaine de kilomètres de la route de Napoléon. Sa station, Orcières-Merlette, est la plus importante station de ski du Champsaur-Valgaudemar.
Depuis cette station de Merlette construite dans les années 60, on accède à la réserve naturelle des Estaris et notamment au grand lac des Estaris.
Sur le territoire de la commune d'Orcières, le hameau de Prapic, situé au fond de la vallée du Drac Noir, est une porte d'entrée directe dans le parc national des Ecrins. Ce hameau, reconstruit après un incendie en 1865, a gardé son caractère authentique. Très fréquenté en période estivale, Prapic permet d'être le point de départ de belles ballades : le tombeau du poète, les cascades Saut-du-Laire, lacs des Pisses...
Le nom de Orcières a pour origine la désignation d'un lieu fréquenté par les ours. C'est ici que le dernier ours des Hautes-Alpes fut abattu en 1895.
Les habitants d'Orcières sont les Orcatus (721 habitants) (population légale 2007, INSEE).

mardi 7 juin 2011

La Tour des Ursulines


Il est fait mention pour la première fois dans les textes de la famille Riveau en 1112. Ponce de Riveau est chamoine de l'Eglise d'Autun. Mais, il semble que ce soit le chevalier Barthélémy de Riveau qui entama la construction du Château du même nom vers 1178. Les détails architecturaux des vestiges du donjon attestent de sa construction à cette époque. Vers 1250, les Riveau deviennent seigneurs de Montjeu. En 1307, Perrin de Montjeu achete le tiers du château de Riveau. A cette époque, la maison seigneuriale de Montjeu-en-Autun se trouve devant les fossés intérieurs du château de Riveau.

En 1327, l'inventaire confié au duc de Bourgogne par Perrin de Mont jeu mentionne la propriété de ses deux tiers. A la fin du XIVe siècle, Riveau était une citadelle ducale puis devint une citadelle royale régie par un gouverneur. Au XVIe avant sa destruction, la citadelle de Riveau voyait sa juridiction partagée entre le Chapitre cathédral, le représentant du Roi et le vierg d'Autun.

Château fort au moyen âge, le château de Riveau était devenu également au XVe siècle une prison. L'entrée de trouvait alors du côté de la ville dans une construction décrivant un demi-cercle protégé par plusieurs bastions extérieurs. Mais c'est le donjon ou "Tour des Prisonniers" ou de "François 1er" (l'actuelle Tour des Ursulines) qui constituait le principal élément de défense du château.

A cette époque les remparts étaient également protégés par une grosse tour carrée, dite "la Tournelle". L'enceinte était doublée par plusieurs ouvrages : une haies d'épines et de pieux, des fossés double, un talus et une palissade de "pieds de chèvre aiguisés". Les remparts étaient surmontés d'ouvrages en bois. Des allées protégées étaient dispusées sur les courtines garnies de meurtrières.

En 1591, le maréchal d'Aumont, au service d'Henri IV, assiège la forteresse, avec 8000 hommes. Le siège dure cinq semaines. Une

AUTUN


Autun (en bourguignon-morvandiau Autègne) est une commune française du département de Saône-et-Loire et de la région Bourgogne, située aux portes du Morvan. Sous-préfecture de Saône-et-Loire depuis 1790, la ville comptait 15 069 habitants (Autunois et Autunoises) au recensement de 2007, au cœur d'une intercommunalité regroupant environ 27 000 habitants 1.

Fondée par les Romains comme Augustodunum, sœur et émule de Rome2 au début du règne de l'empereur Auguste, capitale gallo-romaine des Éduens en remplacement de Bibracte, évêché dès l'Antiquité, Autun a été jusqu'à la fin du XVe siècle une cité prospère et un centre culturel influent, en dépit des pillages et des invasions. Son enclavement géographique et la concurrence croissante de Dijon, de Chalon-sur-Saône et plus tard du Creusot ont contribué à son déclin au cours des siècles suivants. Difficilement convertie dans l'industrie au XIXe siècle (exploitation du schiste bitumineux et de la fluorine), Autun a connu au XXe siècle un regain de dynamisme qui en a fait le siège de plusieurs entreprises nationales (Dim, Nexans) et de l'un des six lycées de la Défense français. La ville conserve de son passé antique et médiéval un riche patrimoine qui en fait par ailleurs un important site touristique au cœur de la Bourgogne.